MAIS POUR AIMER LES COQUELICOTS ET N'AIMER QUE CA....
FAUT ETRE IDIOT !
Tu as peut-être raison.. Oui mais voilà... regarde-moi ça !
Les coquelicots refusent de se laisser encadrer et poussent où ça leur chante.
Qu'il pleuve ou qu'il vente... fragiles, ils résistent.
Je ne peux pas les encadrer, ils aiment trop leur liberté.
Alors je les observe, les admire et j'en prends plein les mirettes.
Seule dans ce pré au milieu de la ville, je n'entends plus le bruit des camions, je ne vois plus les immeubles délabrés, un seul coquelicot et la poèsie s'éveille sous nos yeux éberlués.
Seulement voilà, le regard des passant commence à se faire insistant... Au milieu de ce terre plein, mon appareil photo à la main, je ne passe pas inaperçue, ils sont nombreux sur le trottoir d'en face à s'amasser, je les intrigue. La magie de la poèsie s'estompe, ça y est j'entends les voitures klaxonner, il me faut y aller.
Tu as peut-être raison.. Oui mais voilà... regarde-moi ça !
Les coquelicots refusent de se laisser encadrer et poussent où ça leur chante.
Qu'il pleuve ou qu'il vente... fragiles, ils résistent.
Je ne peux pas les encadrer, ils aiment trop leur liberté.
Alors je les observe, les admire et j'en prends plein les mirettes.
Seule dans ce pré au milieu de la ville, je n'entends plus le bruit des camions, je ne vois plus les immeubles délabrés, un seul coquelicot et la poèsie s'éveille sous nos yeux éberlués.
Seulement voilà, le regard des passant commence à se faire insistant... Au milieu de ce terre plein, mon appareil photo à la main, je ne passe pas inaperçue, ils sont nombreux sur le trottoir d'en face à s'amasser, je les intrigue. La magie de la poèsie s'estompe, ça y est j'entends les voitures klaxonner, il me faut y aller. JE REVIENDRAI !